Photos, livres, aventures.

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Lorsque le fond de l'air est gris et que guette la récession, quoi de mieux qu'un moment de beauté et de fraîcheur pour remonter le moral des ménages.
Improbable mais vrai, Brive semblait avoir prévu le coup (où l'on découvre qu'il y a la mer en Corrèze).







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Rats des villes




















D'importantes affaires requéraient ma présence dans la vieille France, d'où ce délai déraisonnable depuis les dernières nouvelles.
Entre autres, il me fallait témoigner de la prolifération alarmante des rats dans la vieille ville de Bordeaux.








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Le dimanche de la vie

Comment dire? On tombe parfois dans une bonne librairie, au bon moment sur la bonne boîte, tout simplement. Et voilà que je me retrouve à être l'heureux propriétaire, et lecteur imminent, de deux livres de Raymond Queneau. Qui plus est dans de belles éditions (sans quoi je ne serais pas là en train de fanfaronner).

























D'abord, Le Dimanche de la vie, paru en 1951, ici avec la jaquette du film que Jean Herman en a tiré en 1965. Amusant d'ailleurs que j'aime vraiment cette jaquette-là, alors qu'en général je les abhorre.

L'autre titre est encore plus savoureux, une édition toilée et numérotée du Chien à la mandoline, paru en 1962 dans la collection "Point du jour" de Gallimard.





















Égocentrisme (II)



Je m'attendais au coin de la rue

j'avais envie de me faire peur
en effet lorsque je me suis vu

j'ai reculé d'horreur


Faisant le tour du pâté de maisons
je me suis cogné contre moi-même
c'est ainsi qu'en toute saison
on peut se distraire à l'extrême



(extrait de Le Chien à la mandoline)




Vampire passif

















Depuis que la figure du vampire hante la littérature et le cinéma, on nous explique sur tous les tons que le seul moyen de s'en débarrasser définitivement est de le décapiter (en plus de lui percer le cœur).
Prenant prétexte d'un incendie, une équipe de pompiers exorcistes de Montréal vient de sceller le sort de celui-ci.