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Plus vivants que jamais





















Grand absent des commémorations soixante-huitardes, Pierre Peuchmaurd aurait pu (du?) l'être le plus simplement du monde; en rééditant son récit de mai 68, écrit à chaud dans l'été qui a suivi, et paru à l'époque chez Robert Laffont, sous le titre de Plus vivant que jamais.
Pour cela, encore eut-il fallu que quelqu'un chez Laffont se souvienne de ce petit - mais brûlant- livre, ce dont je doute fort. Et puis, encore aurait-il fallu que l'auteur accepte une réédition, ce dont je doute encore plus fort, décidé qu'il doit être au fond de ses bois à se faire discret en attendant que passe cette vaste mascarade.

Et puis tiens, un qui y a pensé, c'est ce diable d'Éric Dussert, éternel défouisseur de textes, sur l'Alamblog duquel de nombreux textes injustement oubliés ont connu une nouvelle jeunesse.





1 commentaire:

Anonyme a dit…

Merci pour ce(s) tuyau(x), je vais d'un allègre pas faire un p'tit tour par là-bas...