Photos, livres, aventures.

Dear James, don't fuck with me.


























Signalée par l'un de nos agents, voici une lettre de Stanley Kubrick adressée en 1970 à un producteur de la Metro Goldwyn Mayer qui, on le comprend, avait alors en tête de tourner une suite 2001, l'odyssée de l'espace.
Au ton de la lettre, on peut imaginer la colère noire du réalisateur. Pour ceux qui maîtriseraient peu ou pas la langue hollywoodienne, sachez que Kubrick menace le plus sérieusement du monde, mais non sans humour, de sodomiser l'audacieux producteur à grands coups de fémur de tapir s'il n'abandonne pas le projet sur le champs.
Le message est clair, you don't fuck with Stanley.


Note importante : après avoir contre-vérifié ses sources, notre scrupuleux agent nous informe à regrets que cette lettre est en fait un canular. Ne sachant pas si nous devons en être soulagés ou déçus, et comme elle nous a quand même bien amusé, nous avons donc décidé de la maintenir sur ce blog.





Mon coeur ne bat que pour Picabia

Jean-Jacques Lebel, 1962. Musée d'Art moderne de la Ville de Paris.