Au début de l'hiver, un petit livre très joliment présenté nous était offert. Une lente tectonique des plaques nous l'ayant d'abord dissimulé, puis récemment restitué, nous venons de le lire.
Eh bien! Qu'il nous soit permis de dire que cette interprétation de l'épopée de Gilgames est des plus belles. Non pas que nous soyons de fins spécialistes de l'époque sumérienne, mais il apparaît clairement que le verbe est haut, les mots courts et tendus.
Gilgame ne voulait pas mourir, et Anne-Marie Beeckman, avec sa discrétion et sa précision habituelles, nous rappelle justement que rien ne meure tant que l'histoire reste écrite.
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Gilgames, de Anne-Marie Beeckman, éditions Pierre Mainard, 78 p., 12 euros, 2008.
Eh bien! Qu'il nous soit permis de dire que cette interprétation de l'épopée de Gilgames est des plus belles. Non pas que nous soyons de fins spécialistes de l'époque sumérienne, mais il apparaît clairement que le verbe est haut, les mots courts et tendus.
Gilgame ne voulait pas mourir, et Anne-Marie Beeckman, avec sa discrétion et sa précision habituelles, nous rappelle justement que rien ne meure tant que l'histoire reste écrite.
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Gilgames, de Anne-Marie Beeckman, éditions Pierre Mainard, 78 p., 12 euros, 2008.
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