Décidément, nos articulations sont bien rouillées par les temps qui courent pour que nous mettions si peu de nouveauté sur ce blog. Une des excuses possibles que j'ai trouvées cette fois est que mon attention est actuellement retenue par la mise à l'eau prochaine du cinquième numéro du Bathyscaphe, sur lequel nous travaillons en ce moment même d'arrache-pieds. C'est donc un mal pour un bien.
Du coup, après la chambre rouge, voici le mur jaune, où comment revisiter la Gaspésie telle que vue au mois de juin 2006.
5 commentaires:
les poètes sont des parfaits, non ?
si oui, il y a deux fautes d'orthographe dans "l'édito"...
N'étant pas poète moi-même, je serais ravi que m'aidiez à me corriger, car là je ne vois pas.
Bon, il y avait donc un participe passé, soit. De toutes façons je ne les ai jamais compris. Mais si vous pensiez à "nouveauté", alors non, ce n'est pas une faute, c'est bien au présent que j'ai voulu le mettre, ce qui est tout à fait possible.
Moi non plus, je n'aime pas les fautes,mais j'aime bien les poètes. Beaucoup moins les "anonymes" courageux.
Et les poètes, les plus grands, même s'ils ne font guère de fautes, sont sensibles au charme des fautes des autres : « J'aimais les livres érotiques sans orthographe », disait Rimbaud. Un vrai poète, lui, pas un cuistre...
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