Photos, livres, aventures.






































Alors qu'à une heure indue je marchais dans mon quartier hindou.






.

2 commentaires:

th a dit…

Alors qu'à une heure indue je bidouille dans mon quartier hindou, j'induis d'un doux glouglou - ouï d'où ? - la douteuse présence d'un dindon dodu.

Anonyme a dit…

Un petit dur marchait la nuit dans le quartier hindou.
Un petit dur qui marchait dans la froidure parce qu'il avait perdu son doudou.
Soudain, le long d'un mur, il croise un Hindou à l'air dur et lui demande d'un ton très doux :
«Vous avez pas vu mon doudou, m'sieur l'Hindou?
–Dur, dur, répond l'Hindou, tu as perdu ton doudou par cette froidure?
–Hou, hou, hou ! fait le petit dur, qui n'est plus dur, mais plus dur, du tout.»
Alors l'Hindou sort son briquet d'amadou, éclaire le mur couleur de saindoux et, en bordure d'un tas d'ordures, aperçoit un doudou tout mou.
«C'est ton doudou, mon petit dur ?
–Oui, m'sieur l'Hindou. Ah! comme c'est doux de retrouver son doudou dans la froidure, quand on marche le long des murs couleur de saindoux».

Joël Gayraud