Chose rare, je relis un livre. Après que je l'ai mis dans des mains innombrables, un ami cher m'en a offert la première édition, et voilà que j'arpente à nouveau avec le même bonheur cette Rue des maléfices, de Jacques Yonnet.
"Ida la Borgnesse braillait et déconnait, déjà ou encore saoule, il l'a mélangée au brouillard à grands coups de pompes dans le parfaitement."
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