Parce que prendre le bus coûte cher et ne me dépose qu'à de trop longs intervalles en des lieux incertains où je ne voulais aller qu'à peu près, je me déplace en vélo autant que possible. Ce qui exclu tout de même les trois mois d'hiver. Du coup, pendant cette période je limite considérablement mes déplacements, ne franchissant qu'en de rares occasions les limites du quartier.
Mais le printemps. Mon vélo sous le bras, chevauchant mon fidèle appareil, voilà que je sillonne à nouveau la ville.
Enfin, j'en suis encore au tour de chauffe, mais bientôt j'en suis sûr je ne verrai plus la maison en me retournant.
En attendant d'avoir fait le plein d'images ensoleillées, et pour changer un peu des rues désertes de Montréal la nuit sous la neige, voici une photo plus ancienne.
Une rue, déserte, la nuit, mais où il faisait une chaleur à crever. C'était à Barcelone, en août 2001.
Mais le printemps. Mon vélo sous le bras, chevauchant mon fidèle appareil, voilà que je sillonne à nouveau la ville.
Enfin, j'en suis encore au tour de chauffe, mais bientôt j'en suis sûr je ne verrai plus la maison en me retournant.
En attendant d'avoir fait le plein d'images ensoleillées, et pour changer un peu des rues désertes de Montréal la nuit sous la neige, voici une photo plus ancienne.
Une rue, déserte, la nuit, mais où il faisait une chaleur à crever. C'était à Barcelone, en août 2001.
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