Tiens, voilà qu'en fouillant dans mes vieilles boîtes, je retrouve cette photo d'un gai jour du printemps dernier. Ce faisant, je me demande en la voyant pourquoi je l'avais mise de côté à l'époque, et pourquoi elle arrête mon regard aujourd'hui.
Question d'humeur sans doute, de sensibilité.
De là à dire que je me sens comme un terrain boueux traversé par des lignes à haute tension allant porter la lumière et la chaleur vers une ville sans doute ennemie, ça ferait un peu dramatique.
1 commentaire:
Si la ville ennemie est Laval, comme je m'en doute, je te promets un féroce combat, mon cher Montréalais
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