Les éditions Finitude viennent de compléter la réédition des romans de Jean-Pierre Martinet en ressortant en janvier son premier roman, La Somnolence, initialement publié par Pauvert en 1975.
De cela, il faudra reparler lorsque j'aurai fini de le lire, mais pas ce soir.
3 commentaires:
Il m'a fait de l'oeil depuis la vitrine d'une librairie du Marais, je suis entrée en sa possession sans préméditation : l'objet est très, très beau. Poids impeccable, des gros numéros de chapitre, l'élégance habituelle de Finitude. Je viens de lire les premières pages, on dirait Hélène Bessette qui se serait mise à faire des phrases entières (ce qui ne veut pas dire que je n'aime pas Hélène Bessette, mais ce qui veut dire qu'il y a là quelque chose de très énergique.) Recause, recause de Martinet, Antoine.
Je vous que vous ne dormez point, cher Antoine.
Première visite sur votre site, grâce à l'entremise de La Taverne d'Edwood. La présence de Martinet, que j'ai présenté moi aussi, est un réel plaisir. Comme le dit Bé., l'ouvrage est de belle facture. Et l'histoire est noire à souhait. Vraiment, Finitude a eu bien raison de nous faire à nouveau profiter de cette Somnolence si cauchemardesque. Je reviendrai lire ce que vous en direz...
Nikola...
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