Après le béton armé, voici le béton sans défense.
Non, en dépit de ce que je montre dans mes photos, il ne fait pas toujours nuit à Montréal, il n'y a pas non plus que des tempêtes de neige et les rues ne ressemblent pas toutes à une quelconque zone industrielle de Kaliningrad, mais les tempêtes modifient tellement la façon dont on voit les choses que je ne peux pas m'empêcher de m'y précipiter.
3 commentaires:
Magnifique photo.
Peur ou mélancolie, on ne sait, mais on reste longtemps à regarder, alors même que, dehors, c'est le grand printemps, cent mille oiseaux qui chantent... la peur et la mélancolie.
pierre p.
C'est vrai qu'il fait souvent nuit dans tes photos, mais elles nous parlent.
Oh! un photographe poët... ça me plait, ça me cause...
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