Photos, livres, aventures.

L'idée à liste au café


À Brive:

Le Majour et le Tryskell, pour tous les jours de lycée.

À Bordeaux:
Le Dijeaux, par flemme.
Le Café des Arts, pour afficher que, justement, on étudie en Arts.
Un ou deux autres encore dans le quartier Saint-Pierre mais dont j'ai oublié les noms.

À Paris:
Le Café de la Mairie, l'épuisant de la place Saint-Sulpice, celui de Perec et de tous les autres avant.
Le Cépage montmartrois, uniquement les dimanches après-midi, pour la terrasse en haut des escaliers.

À Montréal:
Le Porté Disparu, fermé depuis quelques années justement.
Le Club social italien, comme tout le monde.
Esperenza, la Salle d'attente ou la Pharmacie, quelque soit son nom, parce qu'on peut y rester quatre heures avec un café et faire la sieste dans les vieux canapés sans être réveillé.
Le Romolo, mon chalet d'hiver.


Mis bout à bout, j'ai sûrement dépensé plusieurs années de salaire, lu quelques milliers de pages et rêvé à des centaines de femmes(1) dans ces lieux de prédilections, qui me sont essentiels pour garder un certain équilibre.





(1) Mais sans en aborder aucune, ah!, les mystérieuses inconnues des cafés auxquelles on invente des vies.



1 commentaire:

Anonyme a dit…

Je découvre votre blog grâce à "Rainette".
Le seul commentaire : je vais rédiger ce matin une note où je ne vais pas me gêner pour citer votre blog !
Bonne route.
Florentine.
"j'écris pour me taire"
http://www.Florentine.typepad.com