Mignonne, allons voir si la rose
qui ce matin avait déclose
...n'aurait pas par hasard enfin crevé.
Voilà en substance ce que je dis en premier le matin depuis quelques jours, enfin, dès que mon cerveau est en mesure d'organiser une phrase.
Soit une envoûtante V., qui a justement le courage de jongler avec mes humeurs matinales, mais qui n'en est pas moins partie quelques temps se faire bronzer en bikini aux Bermudes. Bon.
Finalement, elle en revint, malgré le légendaire triangle et les pannes bien réelles et successives de deux avions.
Pendant ce temps là, à l'aéroport, une rose à la main, je prenais racine. Bon.
Une éternité plus loin, après une petite sieste improvisée dans une voiture de location sur le parking, j'eu enfin la joie de retrouver l'insulaire V. et de lui offrir ladite rose acquise quelques heures plus tôt dans la boutique ad hoc sise à côté du tarmac.
Tout cela est bien joli, mais cette putain de fleur est aussi tenace qu'une vieille grand-mère russe, et voilà aujourd'hui seize jours qu'elle nous fait de l'oeil sur la table de la cuisine.
Et on voudrait nous faire croire que les douaniers ne laissent rien passer? Il est pourtant évident que cette rose s'est bourrée de coke jusqu'au pistil ! Pas la peine après ça de faire les guignols en empêchant les passagers d'embarquer avec leur dentifrice.
qui ce matin avait déclose
...n'aurait pas par hasard enfin crevé.
Voilà en substance ce que je dis en premier le matin depuis quelques jours, enfin, dès que mon cerveau est en mesure d'organiser une phrase.
Soit une envoûtante V., qui a justement le courage de jongler avec mes humeurs matinales, mais qui n'en est pas moins partie quelques temps se faire bronzer en bikini aux Bermudes. Bon.
Finalement, elle en revint, malgré le légendaire triangle et les pannes bien réelles et successives de deux avions.
Pendant ce temps là, à l'aéroport, une rose à la main, je prenais racine. Bon.
Une éternité plus loin, après une petite sieste improvisée dans une voiture de location sur le parking, j'eu enfin la joie de retrouver l'insulaire V. et de lui offrir ladite rose acquise quelques heures plus tôt dans la boutique ad hoc sise à côté du tarmac.
Tout cela est bien joli, mais cette putain de fleur est aussi tenace qu'une vieille grand-mère russe, et voilà aujourd'hui seize jours qu'elle nous fait de l'oeil sur la table de la cuisine.
Et on voudrait nous faire croire que les douaniers ne laissent rien passer? Il est pourtant évident que cette rose s'est bourrée de coke jusqu'au pistil ! Pas la peine après ça de faire les guignols en empêchant les passagers d'embarquer avec leur dentifrice.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire