Photos, livres, aventures.

L'appel de la forêt (Des intégrations (2))



Passer quelques jours chez des amis à la campagne.
Rencontrer des gens qui font des courses de traîneaux à chiens.
Aller voir les chiens en question.

Marcher dans les bois sur trente centimètres de poudreuse pour finalement admirer une chute d'eau gelée.
Bouquet final, piloter un skidoo sur des sentiers en repensant à la poursuite incroyable dans Gina (1), malgré le bruit de tondeuse à gazon sauvage de la machine.
Cliché tout ça? Et alors?




























(1) film québécois de Denys Arcand de 1975, un classique du genre.






2 commentaires:

Anonyme a dit…

Aïe... que faut-il faire ? Jouir du printemps précoce à Paris - fenêtre ouverte, bruits de la ville et du ciel pénétrant jusqu'au fond des appartements - ou bien soupçonner, traquer, se remémorer la clarté de la neige au Québec, et l'euphorie qu'elle ne manque pas de provoquer ? Tu savais que ton blog pouvait mettre les gens dans un tel embarras, Antoine ?

antoine peuchmaurd a dit…

À vrai dire, on est maintenant dans la période où on commence à le trouver un peu long l'hiver; si pour toi la clarté de la neige est un bon souvenir, la fenêtre ouverte sur le printemps n'est encore pour nous qu'un avenir un peu lointain.
N'aie donc pas de scrupules à nous offrir un peu de cette douceur par procuration.