Au hasard de lectures récentes, je m'aperçois que la périphérie de la bourgeoise ville de Bordeaux n'abrite pas que les souvenirs de ma courte vie étudiante, mais aussi quelques éditeurs de qualité. Je connaissais déjà L'Escampette et Pierre Mainard (qui ont dû fuir la ville mais qui résistent), le Castor Astral, et voilà que je m'aperçois aujourd'hui que L'arbre vengeur et les éditions Finitude vivent sur les mêmes terres.
Étonnant regroupement d'où me vient un grand bonheur de lecture avec la découverte de Jean-Pierre Martinet, dont il est question ici.
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